Le voyage à Nantes 2013

Cette année Le Voyage à Nantes débute

au Jardin des Plantes avec une exposition réalisée par Claude Ponti.

Après plus de 30 ans à nourrir l’imaginaire des enfants et des parents, le créateur du “Martabaffe”, des “Bouchanourrirs” et autres “crapouilles”, se lance pour la toute première fois dans une expérience en plein air et en 3 dimensions.

Voici quelques oeuvres

Les Totémimiques

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Bambusoldeae, plantes monocotylédones appartenant à la famille des graminées. Variété issue d’une mutation génétique accidentelle…

Les Bancs Processionnaires
des plateaux du Sythéhotudominafon

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Les Bancs processionnaires sont des arbres transmutatiques naturels de la famille de Brocéliandacées.
Sans racines, ni frondaisons, ils ne sont en fait qu’un tronc quadriportant, protégé par différentes écorces, lisses ou granuleuses, assurant la photosynthèse par antiprocrastination.
On pense qu’à une époque proche encore récente, les Bancs processionnaires aient été carnivores. Par leur taille décroissante, ils créaient un effet de perspective qui fatiguait et hypnotisait les promeneurs. Ceux-ci, perdant conscience, s’asseyaient sur un des Bancs qui les digérait aussitôt.
De nos jours, les Bancs processionnaires se nourrissent de l’air du temps et des émotions des amoureux.
Ils ont été découverts en 1953 lors de l’expédition de Camélia Touttanjanbbhe partie à la recherche de son Père, l’explorateur Atanase Touttanjanbbhe, disparu dans la Savane de Nouvelle Birtonie Septentrionnale , ancienne Zawou-tébé-tébé.
Camélia ne retrouva pas son père, dévoré par les moustiques tueurs, mais découvrit les Bancs processionnaires, qui digérèrent son mari imprudent et son audioguide dont les piles étaient mortes.
Rapportés en France, en 1957, par transport aérien, les Bancs aimèrent tellement l’avion qu’ils tentèrent de se faire passer pour des sièges de cabine, mais ils se firent prendre car ils n’avaint pas mis leur ceinture de sécurité.
Il est permis de s’asseoir ou de s’allonger.
Photo autorisé, nourriture interdite.

La Chandelle Verte

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Exemple remarquable de mimétisme végétal, la chandelle verte imite à la perfection un Epicea de Siberie…

Le massif du Poussin Endormi

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Authentique massif de fleurs mis en forme de poussin endormi par les jardiniers experts du Jardin des Plantes de Nantes…Certains visiteurs prétendent avoir entendu le poussin ronfler. C’est un mensonge malintentionné travestissant volontairement la vérité de manière éhontée. Un massif de fleurs ne ronfle pas, même s’il est en forme de poussin endormi…

Les deux Génies du Jardin des Plantes

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Monsieur et Madame Génie
Il n’existe pas de Jardin Botanique sans génie protecteur…

Le Banc géant

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Œuvre prêtée par le musée d’art topiaire de Saint Fiaire d’Ornemer.
Le banc géant est l’exemple le plus extrapoustouflant d’art topiaire, art de « sculpter » les plantes, arbustes et arbres en leur donnant les formes les plus variées afin de décorer parcs et jardins.
Le musée Saint Fiaire d’Ornemer conserve la collection de Philippines Hauterives, femme solitaire, qui a consacré sa fortune et sa vie à sa passion. La collection comprend 725 arbres, 1287 arbustes, 3742 plantes, 349 mousses, lichens et champignons, toutes et tous de formes différentes.
Chaque taille est l’illustration d’une légende. Ici, il s’agit de la légende de faille-crevasse, le géant inconnu que personne n’a vu. On ne possède de lui que des traces. 17 empreintes de pas dans la pierre. Unes déjection énorme, conservée à l’abbaye de haulalaz, un pantalon de flanelle écrue oublié sur une corde à linge entre deux montagnes, une carte de crédit en marbre des Carpates et le banc géant, découvert près de la grotte de touéfonlouin.
Nous avons, ici, clairement affaire à une imitation.
Aussi étonnant que cela paraisse, le banc est formé de quatre buis. Taillés de main de maîtresse par Philippines Hauterives. A ce jour, personne n’a percé le secret de son art. Certains ont pensé qu’elle était un peu sorcière.
C’est une médisance. Elle avait la main verte. Surtout la gauche, car elle était gauchère.
Photo autorisée. Pas de nourriture ni d’engrais.

L’Appouare vagabonde mirante

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Un végétal symbiotique formé par l’association d’une algue microscopique et d’un champignon filamenteux.Sa présence est attestée pour la première fois en -2013, lors de la cérémonie du couronnement de Thur Sigurösson au bord du lac de Krhomthor. On fête cette année au Jardin des Plantes de Nantes le quatrième millénaire de sa découverte.Les exemplaires exposés ici ont été transportés les yeux bandés, après une séance d’hypnose leur faisant croire qu’ils rêvaient. Ils s’imaginaient être dans un jardin public de la première moitié du xxième siècle français à Nantes.Leur forme de poire géante à fait croire aux anciens peuples chasseurs-cueilleurs que le Paradis était un verger plein de fruits énormes et savoureux.Aucun chercheur n’a trouvé la raison de cette imitation d’une poire géante. l’Appouare n’a pas de prédateur connu. Peut-être s’agit-il d’un moyen d’attirer un congénère pour la reproduction.l’Appouare timide et discrète se déplace par bonds d’un micron par jour. Elle cherche la proximité d’un étang ou d’un lac pour se regarder dans le mirroir formé par la surface de l’eau.Les plus vieux fossiles datent du Cambrien (541 à -485 million d’années).Photo autorisée. Non comestible. Pas de nourriture ou d’engrais.

Nous quittons le Jardin des Plantes

Il faut suivre la ligne verte et sur son chemin, se laisser conduire d’une œuvre d’art qui surgit au détour d’une rue à un élément remarquable de notre patrimoine, des « incontournables » de la destination à des trésors méconnus, d’une ruelle historique à une architecture contemporaine

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La cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul (appelé aussi localement « cathédrale Saint-Pierre ») en cours de restauration,

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La place Maréchal-Foch

Elle accueille en son centre la colonne Louis-XVI, érigée en 1790 comme « colonne de la Liberté », haute de 28 mètres, surmontée depuis la Restauration d’une statue du souverain.

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par les petites rues, ce fil vert nous conduit au château des ducs de Bretagne

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Dans la cour du château, nous retrouvons le VAN 2012

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Mais ce sont les douves du château qui attirent notre attention 300_3443

D’étranges hommes tentent de survivre

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Personnages avec ou sans bouées mais toujours en costume-cravate, attaché-cases qui flottent

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Isaac Cordal évoque un effet direct du progrès, le changement climatique et la montée des eaux. Les personnages d’Isaac Cordal attendent l’événement avec fatalisme.

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Alors que dans les douves, d’étranges hommes tentent de survivre à un naufrageDSC_0333

imaginé,

plus loin, au gré de la ligne verte, c’est un monde miniature qui s’offre à nous.

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Isaac Cordal s’approprie la place du Bouffay

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C’est un peu moins de 2000 petits hommes qui ont pris place dans la mise en scène d’un monde qui se déconstruit, un ilot de gravats. La ville miniature est ravagée, détruite.

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Toujours en costard cravaté, les hommes semblent désabusés.

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Tous se ressemblent, mallette en mains, mélancoliques.

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C’est une foule de solitude, la vision d’un individualisme exacerbé. Sommes-nous cette société ? Sommes-nous ces hommes qui suivent le leader qui les amène inéluctablement au désastre de l’auto-destruction ? Est-ce le monde capitaliste qui part à la dérive ?

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Approchez-vous, des petites scènes se révèlent :

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des hommes en cagoule,

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Ils se scalpent pour voir ce qu’il y a dans les têtes,

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ils peuvent avoir des ailes…

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Plus de cinquante types de personnages composent l’oeuvre. Chaque figurine de ciment a été moulée, démoulée, bétonnée et peinte à la main.

 Le fil vert nous fait emprunter

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le cours Franklin-Roosevelt, une des principales artères de la ville de Nantes

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Nouvelles plantations, nouveaux dallages et pavements : le cours Franklin-Roosevelt devient un vaste plateau arboré piétonnier de 20 000 m².

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La circulation générale et le stationnement y sont interdits, les accès des riverains et des livraisons s’organisant par accès contrôlé.

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Histoire d’un Mur

Au commencement, les douves du cours Franklin Roosevelt étaient un espace vert tranquille en plein cœur de la ville.

Puis, un mur y est soudainement apparu. Haut de quatre mètres et large de dix, ce monolithe est étonnamment seul. Immobile, imposant et rassurant, un mur ne sait pas rester vierge. Affiché, taggé, sali, ravalé, peint, décoré, graffé, repeint et encore graffé… Inévitablement le mur s’expose.
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Quand nous y sommes passés, c’était l’acte 8

Pour l’acte 8, Histoire d’un Mur réunit Bom.k et Brusk, deux membres du crew DMV (Da Mental Vaporz). Déjà associés sur plusieurs projets, c’est pourtant la première pièce qu’ils réalisent en duo.

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La fresque est composée de quatre portraits, ou masques. Disloquée, fragmentée par des lignes (ou cassures) invisibles, elle a été créée suivant le principe du cadavre exquis : chaque personnage est divisé en plusieurs zones, peintes alternativement par Bom.K ou Brusk. Ainsi associés, les styles et techniques des deux graffeurs se juxtaposent, se complètent ou se confrontent : figuration surréaliste, froide et ténébreuse pour Bom.k, projections de matières, de formes et de couleurs pour Brusk.

La Galerie des Machines

Les Machines de l’île est un projet artistique totalement inédit. Né de l’imagination de François Delarozière et Pierre Orefice, il se situe à la croisée des « mondes inventés » de Jules Verne, de l’univers mécanique de Léonard de Vinci et de l’histoire industrielle de Nantes, sur le site exceptionnel des anciens chantiers navals.

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Un héron de 8 mètres d’envergure, emportant des passagers, survole la grande maquette de l’Arbre aux Hérons, plantée au centre de la Galerie. Des végétaux côtoient des plantes mécaniques et des animaux de la canopée.

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Elle abrite tout un bestiaire mécanique :

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Dédié à tous les illustres fous volants, ce simulateur de vol en soufflerie est unique au monde.

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Un machiniste prend place aux commandes d’un « pou du ciel » et après avoir mis sa ceinture, son casque et ses lunettes, vole à plus de 100 km/h.

L’arbre aux Hérons

Futur projet des Machines de l’île, l’Arbre aux Hérons – arbre en acier de 50 mètres de diamètre et de 35 mètres de haut surmonté de deux hérons – sera une architecture monumentale au cœur de la ville. Les visiteurs pourront parcourir de branche en branche d’étonnants jardins suspendus et embarquer pour un vol circulaire sous les ailes des oiseaux.

La Branche prototype de ce futur Arbre aux Hérons traverse la façade et s’épanouit sur le parvis des Nefs. Le public l’emprunte à la fin de la visite avant de rejoindre le bar et la boutique.

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Cette branche pèse 20 tonnes, mesure 20 mètres de long et représente le premier élément d’une architecture monumentale qui en comportera 22 au total.

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Sa réalisation, dès la première phase des Machines de l’île en 2007, a permis de valider la solidité de sa construction, la sécurité du public et les principes de sa végétalisation.

La grande maquette de l’Arbre aux Hérons, outil indispensable pour la conception et la fabrication de l’Arbre est visible au centre de la Galerie des Machines.

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Le Grand Eléphant

 

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Il habite dans la rue centrale des Nefs.

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Quand l’animal majestueux part en promenade, c’est une véritable architecture en mouvement qui sort d’une cathédrale d’acier.

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Les 50 passagers à son bord embarquent pour un étonnant voyage sur l’Ile de Nantes.

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Chaque sortie du pachyderme est un spectacle unique offert à tous.

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Les voyageurs découvrent, de l’intérieur, les engrenages et les pattes en mouvement.

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Un machiniste renseigne sur la vie de l’animal et déclenche les barrissements.

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Depuis le dos du Grand Éléphant, les voyageurs sont comme au 4e étage d’une maison qui se déplace, avec vue imprenable sur le site des anciens chantiers navals. Dans cet équipage, ils s’inventent un autre voyage hors du temps dans la ville de Jules Verne.

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Le Grand Eléphant fait le lien entre le Carrousel des Mondes Marins, et les Nefs où sont situés l’atelier et la Galerie des Machines, centre de la proposition artistique des Machines de l’île.

Le trajet dure 20 minutes

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Nous allons aller découvrir le Carrousel des Mondes Marins

Caractéristiques du Grand Eléphant

  • 12 mètres de haut, 8 mètres de large et 21 mètres de long
  • 48,4 tonnes
  • Bois : tulipier de Virginie
  • Carcasse métallique irriguée par 2 000 litres d’huile hydraulique
  • Moteur 450 chevaux
  • Un salon intérieur avec portes-fenêtres et balcons
  • Une terrasse accessible par des escaliers
  • 3 différents parcours : environ 30 minutes
  • Vitesse 1 à 3 km à l’heure
  • Mise en mouvement par 60 vérins, dont 44 hydrauliques, 6 pneumatiques et 10 à gaz

 

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Le carrousel des Mondes Marins

Situé en bord de Loire, face au Musée Jules Verne, le Carrousel des Mondes Marins semble sortir du ventre de l’île de Nantes, à l’endroit le plus maritime de la ville.

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Ce carrousel géant, de près de 25 mètres de haut et de 22 mètres de diamètre, est implanté en bord de Loire. Véritable théâtre à 360°, il accueille le public dans une incroyable sculpture dédiée à la mer.

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Les visiteurs sont spectateurs d’étranges et inquiétantes créatures marines qui tournent dans un gigantesque aquarium mécanique monté sur trois niveaux. Ils découvrent la mer dans tous ses états, depuis les fonds marins, les abysses et jusqu’à la surface des océans.

Au niveau des fonds marins : le Crabe géant, le Calamar à rétropropulsion, l’Engin d’exploration qui plonge dans la salle des machines, ou au Bathyscaphe qui grimpe le long du mat central… au total 14 éléments fixés sur un plateau tournant.

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Dans les abysses, au deuxième niveau, 6 éléments sont suspendus au dessus des fonds marins : le Luminaire des grands fonds, la Raie Manta, ou encore le Poisson pirate

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À 8 mètres, le 3e niveau : la surface de la mer. Un plateau tournant, surmonté d’un chapiteau, emporte bateaux, attelages marins et autres Poissons volants, Bateau tempête, Coques de noix et Méduses dans une ronde démontée par 24 grandes vagues mécaniques.

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Mètre à ruban 

Lilian Bourgeat s’évertue à dépasser l’ordinaire, au sens propre comme au sens figuré. Il s’attache à surdimensionner des objets de notre quotidien (salon de jardin, bottes en caoutchouc, plots de signalisation, banc public, etc.) : tout en conservant leur exact aspect d’origine, ceux-ci s’affranchissent de leur banalité pour acquérir un statut extra-ordinaire, quasi iconique. On s’approche alors d’un univers de conte de fée, où les objets usuels deviennent autonomes et doués d’une certaine magie.

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C’est le cas pour ce mètre à ruban démesuré. Outil indispensable à l’architecte, l’urbaniste, l’ouvrier et bien d’autres corps de métier, le mètre à ruban l’est aussi pour l’artiste qui le transporte partout avec lui.

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Copie exacte mais gigantesque du sien propre, celui-ci est déployé dans la cour du nouveau siège du groupe Aethica dont le métier est justement de construire des projets immobiliers. Au cœur de l’île de Nantes, l’œuvre apparaît comme un monument dédié à la simplicité d’un outil, banal s’il en est, mais qui rend concrètes les constructions issues de notre imagination.

Le Mur tombé du ciel

En suivant le fil vert nous passons à proximité de

La fresque de Royal de Luxe

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Dans la nuit du lundi 23 au mardi 24 mai 2011, un gigantesque mur a percuté le sol nantais, s’écrasant tel un météorite, en plein cœur de Nantes, sur la place de la Bourse. Ce dernier mesure 10 mètres de large et 6 mètres de haut et pèse environ 60 tonnes.

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Empruntant le style de l’artiste mexicain Diego Rivera (1886-1957), la peinture murale nantaise tombée du ciel illustrait « La véritable Histoire de Nantes, du Moyen-âge à nos jours ». Elle annonce le spectacle de Royal de Luxe (Compagnie de spectacle de Rue) dans les rues de Nantes qui a eu lieu en mai 2011. Trois cent personnages ayant fait l’histoire, petite ou grande, de Nantes sont représentés sur ce mur de dix mètres de long.

« Ce que personne n’a jamais vraiment compris c’est que la Petite Géante voyage à travers le temps ». Elle va, elle vient, se promène dans le passé et surgit du futur pour être là aujourd’hui devant nous.

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Quoiqu’il en soit la première fois qu’elle visita la ville de Guadalajara ce fut en 1910 pendant la révolution du Mexique.
Impossible de vous dire le pourquoi des choses : mais une légende raconte qu’à l’époque, Zapata, un soir de lune aurait parlé avec elle. Bien qu’elle ne soit pas dotée du pouvoir de la parole, la Petite Géante contient dans ses yeux, les fracas, les remous et les espoirs de l’Histoire des hommes.
Toujours est-il qu’en 2010 elle fut invitée au Mexique pour témoigner de cette épopée dramatique qui devait changer non pas le cours de l’Histoire mais de celle des gens pieds nus qui réclamaient des chaussures.
Dans cette aventure elle retrouva le frère jumeau du Grand Géant: le paysan,

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El Campesino descendu des montagnes pour fouler la terre des grands propriétaires. Venu planter des arbres à pastèques, à pains d’épices ou à cuisses de poulets, il fut ni plus ni moins refoulé dans le paysage. Les Aztèques lui offrirent un chien-dieu aux dents d’obsidienne: Le Xolo chargé d’accompagner les morts dans l’au-delà.
Quand la Petite Géante retrouva le frère du Grand Géant, le Xolo devint immédiatement le compagnon de la Petite Géante. Allez savoir pourquoi? Assise sur une colline près de Guadalajara elle décida de ramener ses rêves et ses souvenirs dans son port d’attache: la ville de Nantes.
Quel Dieu mexicain précipita du ciel une fresque murale peinte à la façon de Diego Riviera, dévoilant les fragments de sa mémoire nantaise?

(Extrait du dépliant Royal de Luxe)

Pour connaître les détails de cette fresque, Royal de Luxe a édité un dépliant descriptif

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Henri IV, Anne de Bretagne, Louis XII

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Jules Verne

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Le cinéaste Jacques Demy, avec Anouck Aimée dans le film « Lola »

Ainsi s’achève le Voyage à Nantes 2013. Il comprend des éléments pérennes de 2012 qui ne sont pas repris ici. Ils ont fait l’objet d’articles l’an passé.

Nous n’avons pas visité les Musées inscrits au parcours : il faisait trop beau.

2 réflexions sur « Le voyage à Nantes 2013 »

  1. on a juste passé 1 nuit à Nantes sur le chemin de retour des vacances, le temps de monter au nid, je continue la visite ici 🙂

    1. Très belle ville où nous allons régulièrement

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