La Route 1 suit la côte de l’Islande autour de l’île et a une longueur de 1339 km. La route passe par pratiquement tous les villes et villages importants de Reykjavik à Borgarnes, Akureyri, Egilsstaðir, Höfn et jusqu’à Selfoss.
Tout le long de notre trajet nous allons découvrir :
Les fameux chevaux islandais, aujourd’hui au nombre d’environ 75 000 sur l’île, ont la particularité d’être exclusivement issus de groupes importés avant la fin du xe siècle et d’avoir conservé des caractères ancestraux. Ils sont petits (entre 1,30 m et 1,40 m au garrot), et très résistants ; ils ont été, des siècles durant, le seul moyen intérieur de transport et de locomotion.
Les moutons islandais qui vivent en liberté de mai à septembre. On les croise tout le long des routes islandaises. Ils sont deux fois plus nombreux que la population humaine de l’île, soit environ 700 000 têtes.
Et
des paysages magnifiques
Tout au long de ce périple, nous irons de découvertes en découvertes.
Parfois nous pourrons nous arrêter quelques minutes
sinon, les photos seront prises au travers des fenêtres du bus …………gare aux reflets.
Le cratère volcanique de scories Eldborg (la « forteresse de feu ») est situé à l’ouest de l’Islande à l’entrée de la péninsule de Snæfellsnes dans la région de Mýrar, à une distance d’à peu près 25 km au nord de la petite ville de Borgarnes.
Ce volcan âgé de 5 000 ans fait 60 mètres de haut, est long d’environ 200 mètres et possède un cratère de 50 mètres de profondeur.
Gerduberg est un « mur » de colonnes de basalt produit du refroidissement de la lave qui donne sa forme hexagonale caractéristique.
Ce « mur » s’étale sur près de 500 m de long sur des hauteurs pouvant atteindre 12 m. Gerduberg est situé près de la ferme de Raudamelur à l’entrée de la péninsule du Snaefellsness.
Nous quittons Stykkisholmur pour rejoindre Varmahild
Une longue route nous attend avec des kilomètres de piste………….
Nous traversons toujours de très beaux paysages
Quelques arrêts nous permettront de découvrir
Le Lupin bleu d’Alaska qui forme de véritables tapis. On s’en sert pour fixer des sols érodés et reconstituer leur fertilité.
Et entre 2 arrêts, nous profitons du paysage
……………..
………………..
……………….
………………….
……………..
………….
………….
………….
…………….
……….