La ville d’ Húsavík est considérée comme la capitale européenne pour l’obsevation des baleines.
Les observations en mer se font en petits groupes et sur d’anciens bateaux de pêche devenus symboliquement innofensifs pour les baleines.
Ces excursions en mer se font dans le respect des animaux, le bateau garde ses distances, pour ne pas les effrayer, si une baleine veut s’approcher du bateau elle le fera d’elle même.
Notre bateau
Le Gardar
Il a été construit à Esbjerg, au Danemark en 1964. En 2010, il a subi d’importants travaux de restauration dans le port de Husavik. Il est le bateau en chêne le plus long (28 mètres) utilisé en Islande aujourd’hui.
Nous prenons la mer
et
toujours ces magnifiques paysages
Nous sommes prêts !!
Mais
les baleines seront-elles au rendez-vous ??
Contrairement au Canada,
nous allons être particulièrement comblés.
Première apparition et Dominique réussit à capturer
la plongée
de
cette baleine
Puis voilà que s’approche
une baleine à bosse
avec sa nageoire caudale qui comporte des tâches blanches
Le spectacle est assez exceptionnel
Il est temps de rentrer au port
où pour l’instant il pleut
Húsavík est située au nord de l’île, dans la région de Norðurland eystra. En 2011, la ville comptait 2237 habitants.
Húsavik, petite ville portuaire, a connu un fort développement du tourisme au cours des dernières années, principalement centré sur l’observation des baleines.
Le premier Viking qui séjourna en Islande, passa un hiver ici vers l’an 870. Il s’appelait Garðar Svavarson, venait deSuède et donna à l’île son premier nom connu : Garðarshólmur.
Le principal bâtiment remarquable de la ville est l’église en bois construite en 1907.
Dettifoss est une chute d’eau de 44 m de hauteur, située sur le cours du fleuve Jökulsá
Pour l’atteindre c’est un peu sportif
Située à 308 m d’altitude, elle se précipite du haut d’une falaise constituée d’orgues basaltiques
Quel spectacle !!
On dit d’elle que c’est la plus puissante d’Europe,
avec un débit d’environ 200 m3 par seconde .
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FÁSKRÚÐSFJÖRÐUR
Ce village accueillit des marins français venant pêcher sur les côtes islandaises sur une période allant du XIXe siècle jusqu’en 1914.
Le village abrite un musée rappelant les liens franco-islandais locaux, les panneaux de signalisation sont inscrits en deux langues : français et islandais.
Entre 4 000 et 5 000 marins Français pêchaient chaque hiver sur les bancs d’Islande.
L’hôpital Français fut fondé en 1903.
Pierre Loti : Pêcheurs d’Islande
Une évocation de ces marins bretons qui s’en allaient plusieurs mois pour pêcher dans les eaux de l’Islande.
Le roman décrit trois campagnes de pêche successives (1883-1885) sur fond d’une intrigue amoureuse. Publié en 1886, c’est le grand succès d’édition de l’écrivain voyageur.
Djúpivogur (baie profonde en islandais) est une commune islandaise de la municipalité de Djúpavogshreppur située sur une péninsule à l’est de l’île, dans la région de l’Austurland. En 2011, le village comptait 352 habitants.
Il pleut
Je vais en profiter pour me reposer dans le bus
pendant que tout le groupe part visiter la ville.
Entre deux averses, je fais quelques photos
Cette petite ville est étrangement décorée
le rose est à la mode
Dominique est partie faire un petit reportage sur la décoration de cette ville
Je vous laisse regarder
La maison
des nains
Une ressemblance avec les habitants ????
Squelette
et totem
Un provocateur ……
Prêt pour la prochaine tempête ……..
Dominante orange
A l’extrémité de la ville cette oeuvre contemporaine de l’artiste islandais Sigurður Guðmundsson représente 34 oeufs en pierre qui illustrent les différentes formes et tailles des oeufs d’oiseaux vivant dans la région. Un résultat aussi pittoresque qu’incongru qui est tout de même l’occasion d’une petite balade vivifiante.